Pour les coquilles broyées, suis pas fan, un véto ou un spécialiste BRF , a bien expliqué les micro coupures faites par les coquilles broyées, coupantes comme du verre pour la fragile paroi interne des intestins.
Et j'ai vu des petits éclats de coquille repasser dans les selles avec de la douleur pour le chien.
Nos chiens sont fort sédentaires et de telles quantités de viande sont parfois bien dures pour des inactifs.
Comme donner des légumes crus ou des fruits crus n'a pas de sens car les légumes qui conviennent sont les légumes à feuilles, comme les feuilles et tiges consommées par les herbivores, et qui sont cuisinées, cuites par les sucs gastriques des herbivores.
Ensuite, les canidés consomment certaines parties des intestins après l'estomac, pas avant, pas l'esstomac, pas assez prédigéré.
Pour les fruits, si le chien peut choisir, il les mangent légèrement pourrissant, très murs, car le début de la fermentation permet au chien de digérer le fruit.
Les fruits et légumes imposés arbitrairement par nous sont ingérés car il n'a pas le choix réel, il a faim.
Tout comme le chien en manque de fibres consomme plus facilement les crottins de chevaux , de vache , alors que si il est saturé en fibres, il évite.
Tout comme le chien n'est pas un charognard volontaire, il aime la viande fraiche , certains morceaux de la bète plutot que d'autres,
il ne mange de la charogne que si il a faim ou souffre d'une ration déséquilibrée.
Seule l'observation et la mise à disposition de toutes sortes d'aliments pourront orienter vers une gamelle satisfaisante.
Je peux témoigner que mes loulous mangeront de diverses manière, suivant le temps, la saison, l'age, la pathologie, les manques , pouvant se ruer sur un pain rassis aujourd'hui et se détourner du poulet demain, adorer les parties "carbonades" un jour, préférer le fromage ou les légumes un autre jour,
certains sont fous du boeuf et rien d'autre, un autre les oeufs, parfois ils complètent avec les crocs....
Je n'impose pas un menu type , comme ils ne peuvent s'exprimer verbalement, j'observe et propose la variété".
Les abats sont ce qu'ils détestent le plus et vu la toxicité de ces morceaux, siège du stress et des médicaments administrés aux bètes de rente, comme les cous de poulet qui sont de fameux toxiques "piqures de médicaments à cet endroit"
je fais confiance à leur instinct
