Depuis tout début janvier, je ne les quasiment pas mis en libre suite à plusieurs épisodes de coprophagie humaine sur le bord des chemins que 1) je supporte difficilement (une fois, je peux prendre sur moi, plusieurs fois à toutes les balades, c'est plus que je ne peux supporter sans lui tordre le coup, à défaut de tordre celui des gens qui ont fait leur besoin là
) 2) ça l'a rendu probablement sacrément malade.Et le libre ne me manque pas. En libre, il est plus excitable, et il se crée des boucles d'auto excitation tout seul à partir de "rien" parfois, juste le fait d'être en libre. En longe, il est plus tranquille (la plupart du temps
), plus observateur, il fixe moins, et maintenant que j'ai révisé mon bloquer/relâcher avec Nadine en février, c'est encore mieux! De plus, j'ai l'impression qu'il m'a, depuis longtemps, montré que la longe n'était pas un problème pour lui, car il vient toujours très facilement à moi quand je lui dis "tu viens me voir, on remet la longe?" (en lui montrant le mousqueton de la longe).
Alors je pense que c'est un truc d'humain de penser le chien malheureux en longe, pas un truc de chien
Laissez-vous du temps pour apprendre à vous connaître, la longe est un tremplin pour vous permettre d'aller vers plus de liberté à l'avenir. Et si tu prends la longe comme un outil qui aide ton chien à travers des passes difficiles pour lui, c'est bien plus gratifiant que l'idée d'en être la geôlière. Je me permets ce conseil car j'étais comme toi le jour de la plus grosse fugue de Jahya, je me suis dit que je ne la lâcherai jamais et qu'elle allait être malheureuse et qu'elle méritait sûrement quelqu'un de bien mieux que moi et que j'aurais dû adopter un bichon maltais, ou mieux, ne rien adopter du tout. 
. Ces jours j'aide à gérer Amélia. Tipi est fort utile 
