Le point sur les 3 premières semaines de Maxi

[Babette]

Bonsoir à tous et surtout à toutes
Pour rappel, Maxi est un chiot bichon havanais d'1kg1/2 tout mouillé. Il a eu le bonheur de naître dans une magnifique famille tant humaine que canine et j'ai eu le grand privilège de pouvoir décider de le prendre lorsqu'il était déjà âgé de 7 semaines. Le nombre de naissances en Belgique étant très largement inférieur à la demande d'adoption, je considère cela comme un grand privilège que m'a fait la vie. Je savais qu'elle m'offrait un petit chien super équilibré et bien dans ses pattes. "Le plus indépendant de la fratrie" dixit l'éleveuse.
"Le plus aimé par les enfants" m'a-t-elle également confié lorsque je suis venu le chercher une semaine plus tard.
Le bichon havanais étant naturellement un concentré de joie de vivre, d'une sociabilité et d'une gentillesse à toute épreuve et que j'ai la chance d'adopter l'un des meilleurs d'entre eux je lui attribue d'office tout le mérite de ses magnifiques progrès de ces 3 semaines. Je serais juste heureuse de n'avoir pas fait trop de boulettes qui auraient pu entraver ces derniers, et cela, je le devrais encore à mes longues lectures des forums "chien libre" et "à l'écoute du chien".
Etant, en outre, pensionnée - et heureuse de l'être - je suis libérée du stress qui est le lot de la majorité d'entre nous. Super zen dans ma tête et hyper disponible.
La première semaine, j'avais tenu secrète son arrivée à la maison et j'ai donc évité les rituelles "visites" au nouveau-né.
Il n'a eu à faire son "entrée dans le monde" que vers son 10ème jour à la maison... qu'il n'avait pas encore exploré dans sa totalité car certains lieux ne lui était pas accessible sur ces 4 pattes car il y des escaliers à franchir, et il n'en était pas capable. Depuis 3 jours, il peut enfin descendre et monter 2 marches d'escalier par ses propres moyens, et il continue à explorer les lieux au rythme de ses capacités. J'ai profité de ces obstacles naturels pour lui apprendre tout aussi naturellement "tu attends, je reviens" chaque fois que je disparaissais à la toilette, à la buanderie ou au garage. Ces lieux, il les avait traversés une fois, le jour de son arrivée - pour passer de la voiture à la maison.
Depuis qu'il peut me suivre, je préfère lui énoncer avec plus de précision ce que j'ai l'intention de faire lors de mes disparitions: faire pipi, chercher une bouteille d'eau, faire une lessive... de manière à ce qu'il puisse évaluer lui-même si cela vaut ou non la peine de me suivre. Déjà, "faire pipi" ne mérite plus qu'il se déplace, il attend couché à mi-chemin entre son panier et l'escalier ma réapparition. La lessive, il trouve cela drôle, il m'accompagne et me regarde faire.
Maxi, je vais faire les courses, tu attends, je reviens. Celle-là, il ne l'aime pas du tout. Elle le fait démarrer au quart de tour. Alors, au retour, je lui fait sentir les bonnes choses qui se trouvent dans le panier (aujourd'hui, des petite cailles achetées à son intention). J'espère qu'il mesurera le bénéfice du "tu attends".
Maxi, on va au parc, tu viens avec moi? Ces 2 phrases sont dites avec le même scénario: j'enfile une veste où se trouvent les clés de voiture, j'ouvre la porte de garage, très bruyante et la voiture démarre.
Ses 2 premières expériences de voiture ne l'avaient pas trop convaincu. La premières fois où il a compris que je l'invitais à une ballade en voiture, c'est la seule fois aussi qu'il esquiva mes mains qui tentaient de le saisir. Je faisais 2 pas vers lui, il reculait de 3 pas. Trop comique. Depuis qu'il a associé "voiture" et "parc", plus de soucis. Je vois bien qu'il mesure encore le pour et le contre avant de décider s'il vient avec moi, mais sa décision est affirmative e 2 fois réitérée: la première, en descendant seul vers le garage, la seconde en s'avançant vers mes mains qui se tendent pour le porter dans la voiture. Je ne peux douter que cela soit librement consenti.
Une autre phrase, devenue magique "je peux t'aider?" - enlever un bout de crotte coincé dans les poils, enlever de sa gueule un bout de viande qui l'étrangle, le porter pour accéder à un lieu trop élevé... il sait déjà qu'il peut compter sur moi et j'obtiens son entière collaboration: il m'offre son pet, ouvre la gueule, se place de manière à ce que j'ai la meilleure prise.
Et puis nous avons nos moments d'effusion où je lui dit que je l'aime, qu'il est le plus grand, le plus beau, le meilleur loulou du monde, qu'il est magique et il semble aimer ces déclarations et il adore les caresses, surtout au réveil. Je dors sur le canapé et lui à côté. Je me réveille, je susurre "bonjour Tiloup" et il se met sur le dos pour une longue et douce caresse sur le ventre. C'est ainsi que commence la journée.
Et puis, lorsqu'il a marqué un grand progrès - comme descendre et monté les escaliers ou une première nuit 100% propre - alors le "c'est bien" ne me semble plus suffisant. Alors il a droit à "Maaagnifiiique, Tilou, tu es le meilleur, tu es génial" et il semble apprécier le compliment.
Et puis je veille, lorsque nos regards se croisent, que le mien lui sourie le plus souvent possible. Je ne dois pas forcer, il est vrai. Ce petit chien me ravit.

Habitant près de l'autoroute, certains jours, le bruit au jardin doit lui être insupportable. Les premiers jours, faire pipi au jardin devait lui demander un effort au-dessus de ses forces. Alors, il a essayé de négocier: la porte du jardin étant ouverte, il s'est arrêter sur le petit tapis, a tourné la tête, m'a regardé dans les yeux et a laissé échapper un petit pipi, tout en surveillant ma réaction. J'ai hoché non de la tête avec une grimace et un "non, pas d'accord" d'une voix douce. Il n'a jamais recommencé.
Depuis une dizaine de jours, nous passons 2h/jour dans un magnifique parc de la région. Nous ne déplaçons pas plus de 25 minutes (au pas de l'escargot arthritique), le reste du temps, il adore que je m'assoie au pied d'un arbre, à 5m puis à 3 m du chemin piétonnier et il observe de loin les enfants, les chiens, les joggueurs, le vélos et pour la première fois, cet après-midi, les corbeaux ou joue avec les feuilles, les brindilles, les marrons et se délecte des crottes de lièvres (jusqu'à aujourd'hui, sa seule petite douceur). Lorsqu'un promeneur ou un enfant lui est sympathique, il va leur dire bonjour.

Le "Maxi, tu laisse" et le "Maxi, tu viens me voir" enregistrent un très beau niveau de succès - même s'il a déjà emboité le pas à un joggueur.
Le "Tu laisse" marche mieux si j'ai anticipé et avant qu'il n'ai décidé d'y aller.

Maxi a une peur panique des grands chiens, quelque soit le degré de politesse et de délicatesse de ceux-ci. Un magnifique setter de 4 ans, en libre, a déployé tout son répertoire de civilité canine afin de séduire Maxi, en vain. Ce dernier s'est terré sous mes jambes (j'étais assise sur l'herbe) terrifié.
Et cinq minutes plus tard, tandis que nous prenions le chemin du retour, un gros balourd de 30 kg a foncé à tout vitesse droit sur lui sans cérémonie mais sans aucune agressivité non plus. Là Maxi s'est réfugié derrière moi en faisant "kaikai". Rencontre difficile et le maître, pris au dépourvu se trouvait à 100m. Il avait beau s'époumoner à hurler tout en courant, le chien n'en n'avait que faire. Je n'ai pas eu d'autre solution que de prendre Maxi dans les bras pour le protéger des assauts "amicaux" mais sacrement musclés du bonhomme.
Le maître aussi, un bien brave homme, complètement débordé par son toutou et paniqué. J'ai tenté de le calmer lui d'abord en lui disant calmement qu'il n'y avait pas de mal et ensuite je lui ai demandé de cesser de crier et de s'agiter mais plutôt d'essayer d'apaiser son chien.
On a un peu bavardé et j'en ai profité pour lui parler de la longe et du forum. Son rêve, promener le toutou comme le fait Barraband...

Et puis Maxi aime jouer (brièvement) avec des peluches et je ne me sens pas de les confisquer. Cela ne semble pas particulièrement le mettre dans un état d'excitation incontrôlable. Aujourd'hui, il n'y a qu'à peine touché, il leur a préféré un petit pot de fleur en plastique trouvé sur la terrasse.
Et il arrive à Maxi de se mettre en "mode piranha" - surtout lorsqu'il a le ventre mouillé en rentrant du jardin et le soir avant le coucher. Pour l'instant s'est rare et de courte durée. J'en fais peu de cas et j'ai ressorti de vieux pantalons jusqu'à ce que jeunesse se passe.

Et puis, en 3 semaines, Maxi n'a réellement aboyé qu'une seule fois: la nuit lorsque mon fils est passé devant la porte fenêtre du salon où nous dormions.
et il a émis un waf waf étouffé lorsque le chat du voisin est passé sur la terrasse. Juste pour me rassurer qu'il n'était pas muet de naissance.

Et Maxi a peur des voitures. Moi aussi. (mon dernier chien s'est fait percuté, tué sur le coup - un accident improbable). Ma zénitude me lâche. Je lui ai même dit "c'est bien Tiloup" lorsqu'il a pris la poudre d'escampette dans la direction perpendiculaire à celle d'une voiture qui passait devant chez moi (soit direction la maison).
Et Maxi déteste et refuse tous les harnais, tous les colliers...et je le comprends... et je les enlève après 10 minutes durant lesquelles il se comporte comme un veau conduit à l'abattoir.. et le lendemain, j'en essaie un autre modèle... (j'en avais 4 sous le manteau, de mon précédent chiot) et je postpose le moment de sortir en rue en espérant un miracle qui ne viendra pas... Je résiste à céder au conseil de l'éleveuse d'utiliser la friandise qu'elle m'a d'ailleurs gentiment offert.
Et Maxi à un cou de la taille de celui d'un chat... alors une longe et un collier étrangleur, je ne vois pas trop comment faire. Je vais pas l'étrangler au lacet pour lui éviter un accident de voiture?
Je crois savoir que parmi vous, certaine(s) possède(nt) un bichon ou un chihuahua.
Comment avez-vous résolu ce qui pour moi équivaut à la quadrature du cercle? Une idée?
J'ai écumé tout le marché. Un collier rond étrangleur pour chat, cela n'existe pas.
J'ai regardé du côté des laisses d'expo... en me disant que peut-être, un bricolant un peu... pas trouvé d'idée.
En attendant, j'essaie de lui faire apprécier qu'il y ai un lien physique entre lui et moi en lui faisant tenir un bout de la laisse avec ses dents et moi à l'autre bout. Cela avait assez bien marché avec mon chiot précédent. Il avait fort bien compris l'usage de la laisse. Lorsqu'il se promenait en libre au parc, il venait prendre un bout de la laisse dans sa gueule et se mettait à courir pour m'obliger à le suivre. Lorsqu'il fut assez grand pour un harnais, il a accepté sans problème la laisse en rue.

[Cath]

Qu'est-ce qu'il est mignon ! je ne connaissais que les ténériffe ou les maltais, savais même pas qu'un bichon pouvait ne pas être tout blanc
Ton récit est réjouissant, on sent une écoute attentive et une belle complicité !
Pour le collier, sûr que des ronds coulissants de petite taille, c'est pas facile à trouver... deux postes :
- soit une laisse-collier tout en un, avec un anneau d'arrêt réglable
- soit, vu qu'un bichon, ça n'a quand même pas une force herculéenne pour tirer, tu bricoles avec un bout de longe, 3 anneaux et du thermo-collant.
Belle et longue vie à Maxi !

[loupiote]

Ton récit est réjouissant, on sent une écoute attentive et une belle complicité !

Et puis, Maxi... c'est un nom plein d'humour, j'aime !


Sinon, je ne pense pas qu'il faille un collier coulissant pour un chiot si jeune. Pas avant 6 mois je crois qu'on m'avait dit pour Yono.
Avant cela, je crois qu'il faut privilégier l'envie naturelle qu'a le chiot de suivre son maître, et la renforcer grâce à ses déplacements. Renforcer le lien invisible en fait .

Et pour l"habituer à un collier, peut-être simplement lui mettre un truc tout fin et léger, en corde toute fine par exemple ? Et ne lui laisser que quelques minutes au début.
Et après quand il accepte le collier, pour l"habituer à la laisse, je crois qu'on préconise de lui attacher au collier, quand il est à la maison, et juste quelques minutes au début aussi, un ruban ou une toute fine cordelette (juste un peu plus longue que la longueur de son corps). Ainsi, en marchant dessus, il va s'habituer à ressentir de tout légers "messages" au niveau du cou.

j'essaie de lui faire apprécier qu'il y ai un lien physique entre lui et moi en lui faisant tenir un bout de la laisse avec ses dents et moi à l'autre bout. Cela avait assez bien marché avec mon chiot précédent. Il avait fort bien compris l'usage de la laisse. Lorsqu'il se promenait en libre au parc, il venait prendre un bout de la laisse dans sa gueule et se mettait à courir pour m'obliger à le suivre

Personnellement j'éviterais d'apprendre à un chiot à prendre la laisse dans sa gueule, d'autant plus qu'il risque de trouver très amusant de tirer dessus. Et d'obliger son maître soit à résister et donc à tirer dans l'autre sens, soit à le suivre. Ce qui n'est pas vraiment ce qu'on recherche .

il sait déjà qu'il peut compter sur moi et j'obtiens son entière collaboration: il m'offre son pet, ouvre la gueule, se place de manière à ce que j'ai la meilleure prise.

Et puis je veille, lorsque nos regards se croisent, que le mien lui sourie le plus souvent possible. Je ne dois pas forcer, il est vrai. Ce petit chien me ravit.

[chance]

C'est un récit des plus agréable qu'on aimerait lire plus souvent....

Maxiwoman me conforte dans l'observation que j'ai faite avec mes vieux clients en toilettage:
leur chien est toujours calme, posé , ces vieux ne jouent pas vraiment ou si calmement ...et annoncent tout ce qu'ils vont faire à leur chien.
C'est sans doute pour cela que ces chiens sont si peu angoissés.
Les vieux se promènent à tous petits pas , le pas de sénateur et cela doit contribuer grandement à faire de petits chiens bien zen...

[Cath]

Au temps pour moi, je n'avais pas percuté que le Maxiloup était encore trop jeune pour songer à une laisse...

[galla65]

bonjour,votre évolution a toutes les deux est vraiment très agréable a lire. Votre relation est vraiment fondé sur de la sérénité.

[Babette]

(...) savais même pas qu'un bichon pouvait ne pas être tout blanc

Le bichon havanais offre un diversité incroyable de coloris - il y en a vraiment pour tous les goûts... sinon qu'ils sont trop rares.
une page qui peut déjà donner une bonne idée de la diversité
http://www.felici-animali.be/PdC_nos_chiens.htm
Bien qu'à longs poils (cheveux), ils sont plus faciles à toiletter que les maltais. Un bon coup de brosse tous les matins et le tour est joué, d'autant que le poil est autonettoyant.

[Babette]

C'est un récit des plus agréable qu'on aimerait lire plus souvent....

Maxiwoman me conforte dans l'observation que j'ai faite avec mes vieux clients en toilettage:
leur chien est toujours calme, posé , ces vieux ne jouent pas vraiment ou si calmement ...et annoncent tout ce qu'ils vont faire à leur chien.
C'est sans doute pour cela que ces chiens sont si peu angoissés.
Les vieux se promènent à tous petits pas , le pas de sénateur et cela doit contribuer grandement à faire de petits chiens bien zen...

Bien que pensionnée, je ne me sens pas vieille. Plus jeune aujourd'hui qu'il y a 15 ans... mes articulations, mes artères et mon cerveau répondent encore avec satisfaction.
Par contre, j'ai perdu beaucoup de certitudes à propos de tout, je fonctionne à l'instinct et par tâtonnements avec prudence et j'observe l'impact de mon comportement sur l'autre, sachant qu'une réponse satisfaisante à court terme
n'induira pas nécessairement la réponse attendue à long terme.
Et puis surtout, j'ai l'énorme privilège d'être disponible, ancune urgence à traiter, un agenda vierge d'obligations diverses.
Depuis ces 3 semaines, c'est toute ma gestuelle quotidienne que j'ai ralenti, j'exerce un contôle sur chacun de mes gestes: me déplacer sans bruit, nettoyer le sol, faire la vaisselle, vider le lave linge, ouvrir une porte... de manière à ce que Maxi puisse m'observer et prendre la mesure de la non-dangerosité de tous ces actes quotidiens, parfois générateurs de bruits inquiétants. En contrôlant mes gestes, j'essaie d'en atténuer le bruit.
Par exemple, je me suis aperçue qu'il se montrait intrigué lorsque je rinçais le torchon dans le seau, j'ai posé le seau sur une marche surbaissée pour lui permettre de voir ce que je chipotais, et j'ai prolongé mon activité plus longtemps que nécessaire. Jamais torchon n'a été si méticuleusement rincé.
Lorsque j'invite Maxi à une activité, je lui laisse réellement le temps dont il a besoin pour prendre sa décision, et cela peut parfois paraître très long et il faut apprendre à calmer son impatience et là cela devient magique car on "voit" son chiot "réfléchir" et "soupeser" le pour et le contre.
Dans ces moments, Maxi a des petits hochement de tête avec un air très concentré, un par option qu'il envisage peut-être, trop drôle et je sais que sa décision est prise car il avance brusquement la tête dans la direction décidée, bien avant que le corps ne suive.

Je joue avec Maxi lorsque je "sens" que la solitude lui pèse d'autant que les 2 premières semaines, les sorties l'inquiétaient vu le bruit de l'autoroute et son peu d'enthousiasme pour les sorties en voiture. Le forum m'ayant fait prendre conscience que ces jeux n'étaient pas géniaux, je stoppe dès que je sens que Maxi a eu son compte.

Je ne tarderai d'ailleurs pas à adopter un deuxième bichon, je crois que c'est le plus beau cadeau que je puisse lui faire.

[Barraband]

Comme les autres, beau récit
Tu peux peut-être nous l'agrémenter de photos...

Je faisais 2 pas vers lui, il reculait de 3 pas.

Je profite de ces propos-là pour amener des éléments de réflexion, de compréhension sur notre gestuelle... En fonction des circonstances, des demandes faites, il vaut mieux éviter de faire un pas vers le chien au risque qu'il y réponde en partant dans l'autre sens... soit par jeu, soit parce qu'il ne veut pas être attrapé...

Je ne tarderai d'ailleurs pas à adopter un deuxième bichon, je crois que c'est le plus beau cadeau que je puisse lui faire.

Je ne sais pas ce que tu entends par tarderai pas mais peut être laissé le temps à Maxi de grandir...Il pourra ainsi t'aider dans l'accueil du deuxième toutou !

[Minosh]

Moi aussi j 'ai adoré te lire !
Pour les colliers que tu as essayé, tu lui mettais juste pour la balade ou tu lui laissais en permanence ? Si tu lui mets un collier sans la laisse, que fait-il ?