arivée au gite de Coecard, un charmant gite isolé dans la campagne bretonne.
Prise des odeurs et de contact avec Gary, Twig et Eris grace à une balade.
Premier jour de terrain:
rencontre des participants
Faolan et Guy Faolan est un beau Léonberg
Leeroy et Céline Leeroy est un croisement tervueren/berger allemand je pense
Cubitus et Catherine Cubitus est un coton de tuléar
Gweltaz et Kador Kador est un sharpei brun rouge
Essielle et Eole avec Lucie et Yan Esielle une petite ratier/épagneul ? Eole un croisé huskypodenco
Titi et Pierre Titi un bull terrier
Gary et moi Gary un croisé Border/braque /labrador
Twig et Eris pour aider Nadine
On a détendu nos chiens puis nous avons, sans nos chiens expliqué nos problèmes, nos désirs, notre vision de notre chien et ensuite Nadine nous a donné un super cours sur la longe, son maniement, son utilité, la manière de freiner / relacher...
nous avons réexpliqué les déplacements, la vision du chien, les attitudes...
En gros car le stage a été si riche d'infos pour moi que je raconte un peu pèle mèle...
Nous avons fait une pose /midi , les parents de Lucie ont dressé une magnifique table , ou nouritures , cidre, vins, eau, café ont enchanté nos estomacs.
Ensuite , détente et présentation au portail.
Qui comme d'habitude a révélé beaucoup de choses .
Le stage s'annonçait fort, Kador, Faolan ont énormément fixé, surtout Kador qui tenait absolument à en découdre avec Faolan.
Eole et Leeroy , deux super potes très excités , chevaucheurs ont mis beaucoup de tension ,
Catherine était extrèmement tendue parmi tous ces kékés , et Cubitus chevauchait sa jambe, haletait, tirait sur ses vètements pour exprimer son grand mal etre.
Gary en apparence cool mais un peu chevaucheur qui en rajoutai une couche avec Eole et Leeroy
et qui sans vraiment s'opposer à Twig lui lançait de tant à autre de beaux sourires et était fort dans la provocation silencieuse

Nous avons rapidement compris qu'il y avait vaiment assez de chiens sur le terrain car les nouveaux annonçaient quelques moments forts et allaient demander beaucoup de vigilance, de déplacements, pour nous tous.
Le premier jour se terminera à vingt heures, j'étais sur les genous.