La famile vivaient dans une maison ave petit jardin .
Le chien était interdit de jardin quand la famille s'absentait ,car le monsieur tenait beaucoup à son jardin.
Ily a eu séparation et une sorte de garde alternée du chien Quincy.
La dame s'est retrouvée en appartement et a repris une jeune chienne.
La propreté a été aprise en vary,c'est une méthode courante : on enferme le chiot dans un vary pendant les absences dues au travail par exemple, ainsi il se retient et ne peut détruire le mobilier.
Cela génère souvent des comportements indésirables futurs.
Quincy a été laissé définitivement àsa maitresse suite a un différent qu'il y a eu entre le maitre et le chien lors d'une garde:
Quincy a été réccupéré en état de choc dans son vary, à la demande du maitre, mais on ne saura jamais ce qui s'est dit entre le maitre et le chien.
Par la suite, le chien est devenu une charge pour la dame , il attaquait dans l'assenceur, les passages étroits...Il déteste les hommes et fait toujours la fète à sa maitresse et aux jeunes fillesquand je l'emmène saluer sa famille.
La dame m'a donc appelée pour résoudre les nombreux problèmes : le comportement agressif enver les gens, les chiens, les voitures.
Quand je suis rentrée dans l'appartement, le chien n'a rien dit et rien manifesté, juste un regard et est resté distant.
Lors de la balade , j'avais pris une longe et on avaait choisi un parcours vers les campagnes, le chien tirait peu, ne communiquait pas du tout, guettait les voitures,les chiens et restait indiférent vis à vis des promeneurs tant qu'il n'y avait pas course , ou tentative d'aller vers la maitresse.
La maitresse avait appelé la Borderline collie pour tenter une adoption ,la charge du chien devenait trop lourde et éduquer unchiot plus rééduqué un chien traumatisé n'était pas possible vu la situation générale.
C'est à la demande de l'asociation que je suis allée voir le chien pour juger si il était adoptable .
J'ai sincèrement dit que non, ilfalait une longue rééducation ou touver une famile sans animaux, sans enfants, sans envie de dressage , d'age mur, à la campagne et aimant les balades calmes.
J'ai été rappelée ensuite pour faire les vaccins de rappel afin de mettre le chien en pension une semaine.
Le problème était que les deux vétoqui d'habitude recevaient le chien,n'étaient pus deux mais un, cause vacances et il était impossible de vaciner le chien si il n'y avait pas deux personnes pour deux laisses et tenir le chien coincer entre les deux laisses.
ON ne savait pas le museler.
C'est aumoyen d'une longe que j'ai fait entrer le chien dns le cabinet vétérinaire, il détestait et freinait des quattre pieds! , j'ai tiré le chien jusqu'au pied de la lourde table et tenu le chien contre ce pied, ainsi, après une courte résistance, la vétérinaire a profité d'un moment de calme pour piquer la fesse du loulou.
Par la suite, le temps de parler un peu et payer, le chien est resté dans un coin, le regard fixe, évitant nos yeux, tournant presque le dos, immobile, tétanisé.
Il est sorti à toute vitesse en grand stress et s'est jeté sur le premier chat rencontré.
Sa frustration et son stress étaient forts.
Par la suite, j'ai proposé à la dame de le prendre la fameuse semaine car elle n'avait pas de pension en vue pour garder ce chien .
La vétériaire m'a alors demandé de le tnir deuxsemaines pour luui doner un avis plus complet sur le caractère.
L'euthanasie était aussi envisagée.
Quincy est monté dans ma camionnette sans résister, sa maitresse m'avait accompagnée jsqu'à la camionnette.
Je l'ai instalé dans le salon de toilettage, isolé de autres chiens, ainsi ilpouvait entendre sans trop voir.
Quand il y avait des cliens, je le metais dans la bibliothèque, toujours seul, avec un tapis.
Il n'a pas pleuré une fois, retait fermé, distant.
Il est très très propre, ne détruit rien,n'a jamais détruit, mème chiot.
Premières promenadesje choisis des endroits très calmes, loin des voitures
