Toss a écrit :Pour les vélos "tu laisses" ne me semble pas inapproprié (à moins que le chien ne renifle les mollets

)
Sinon en général ça devient "tu vas au bord, tu laisses ?" (le "tu vas au bord dit bien haut, pour qu'ils entendent... le "tu laisses" plus bas, pour Chelsea, mais dit au dernier moment... ça marche mieux comme ça avec elle

)
hé Toss! tu as raison, coupe la poire en deux!!!!
à chacun de s'adapter et d'agir au mieux!
suivant le contexte, on pourrait aussi utiliser le "tu avances, c'est bien tu avances!", en nous déplaçant, le face à face puis le croisement n'en seront que plus rapides et le chien pourra défixer plus vite, grâce au déplacement!
au fil des balades, suivant les situations, croisements de vélo, joggeur, marcheur, j'ai comme l'impression que les personnes sont bien plus rassurées par le "tu attends", où maitre et chien se sont bien placés au bord du chemin!
les personnes sont impressionnées, puis surprises, incertaines, puis elles réalisent que la voix est libre, que les chiens sont tout près de leur maitre, tranquilles, calmes, immobiles et elles sont donc "un peu" plus à l'aise pour avancer et passer devant...nous ne connaissons pas les peurs de ceux que nous croisons, et la manière dont ils remercient en dit long...pourtant, il semblerait plutôt normal de "partager" la route avec ceux qu'on croise et de respecter leur appréhension!
à chaque fois, on dirait qu'ils ne sont pas du tout habitués à des maîtres respectueux du cycliste, du joggeur, du simple marcheur et qui vont pour cela se mettre au bord du chemin avec leur chien et laisser passer, ou choisir d'agir d'une autre façon, en avançant, et/ou en utilisant d'autres demandes, mais toujours de manière à ce qu'il n'y ait pas de contact si il n'a pas été souhaité et à rassurer celui qu'on va croiser!
et des gens qui ont peur, il y en a.
en tout cas, bravo à Cath et à son Jules!!! c'est un vrai bonheur de le voir profiter de ses balades...libre...
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi, parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas...