
L'autre jour, on s'est un peu perdu dans la forêt. Evidemment, un moment il commence à sentir des chevreuils, mais un peu dans tous les sens. Qu'est-ce que c'est dur à ce moment là ! Je ne dirais pas que je l'ai perdu, mais c'est tout comme. Alors je ne dis rien, je marche tout droit (autant que possible) en devant le tirer (pour le faire bouger, après il suit), etc. Ce salop me coupe la route évidemment, pour me demander de rester.
L'autre jour encore, dans le fond du jardin, au milieu de la nuit : j'entends des aboiements bien sourds qui me font comprendre qu'il y a quelque chose. Je vais voir : le chat du voisin ! Gümüs l'avait un peu coincé, mais il lui aboyait dessus à plusieurs mètres. Je vais voir, lui dit calmement "c'est bon, c'est le chat du voisin, tu laisses?" Evidemment, difficile à faire lâcher l'affaire. Il s'est encore excité un peu après que le chat soit parti, puis s'est couché. Bon, c'est plutôt rassurant de se dire qu'il ne va pas croquer dans le chat - je me disais bien qu'il ne le ferait pas, mais c'est cool d'avoir une confirmation. Il en avait quelque part assez "peur" quand même - ou disons qu'il s'en méfiait.
Ce matin, il l'a revu alors qu'il était sur un toit à côté. Voilà ce que ça donne (je suis resté de dos/profil pendant que je filmais, en général je pars, là c'était pour filmer seulement que je suis resté) :