Grande première aujourd'hui : j'ai laissé Nestor seul à la maison pour aller, sous un temps de chien, rejoindre le groupe de Nadine qui pique-niquait autour de quelques galettes des Rois.
Comme ce n'était pas la porte à côté, et bien que partie avant la fin, absente 2h 1/2...
Nestor n'était jamais resté seul aussi longtemps, et à l'heure du déjeuner qui plus est !!!
Si l'on excepte un pipi (sur le carrelage... plus facile donc pour moi de "passer l'éponge", au propre comme au figuré

), aucun dégât. Ouf !
Faut dire que j'avais condamné le séjour et la chambre à donner (planche plus séchoir plus fauteuil pour coincer le tout, dans l'embrasure de la porte) et, au bureau, planqué tout ce qui était déchiquetable dans une caisse.
M'enfin, en cherchant bien, il aurait pu trouver une bêtise à faire... et il n'a touché à rien.
C'est pas beau, ça ?
Et, quand je suis arrivée, il m'a fait une telle fête, courant comme un fou, sautant sur le lit pour s'y rouler les 4 fers en l'air, tortillant du popotin, glapissant, frétillant...
Y a pas à dire, l'angoisse de la séparation et la peur de l'abandon, c'est pas encore réglé
