Lisa a écrit :J'avoue que je n'ai pas compris les réponses
qu'entendez vous par marqueur en définition.
Quand Aiko avait assisté à ma conversation avec le grand voisin juché sur son talus qui le fixait,
fixait
conversation un peu trop longue,
trop longue
Aiko s'était roulé par terre quand j'ai terminé. Par la suite il montrait une grande aversion pour ce monsieur en passant même de loin devant la maison. Arrêt pour observer si le voisin était là, queue bien collée sur le haut, regards appuyés sur le temps du passage, avec arrêts répétés. Les marqueurs c'est ça ?
Non, moi je voulais dire les sens, exemple ; oeil, le nez, les oreilles ....les marqueurs influençant le chien par exemple : un regard fixe de son ancien maître avec en mème temps une raclée, une engueulade ou autre désagrément (le regard fixé devient un signal fort qui est associé dans le mental à une sensation de douleur, peur , menace mise à exécution...)
l'oeil toujours p,par exemple l'association d'un humain debout,grand,qui fixe ..et un désagrément physique )
On peut extrapoler longtemps mais les sens du chiens s'assemblent en une série d'images et sensations qui vont générer une émotion: colère, méfiance, crainte ou plusieurs émotions...
chaque chien va avoir sa manière personnelle d'amalgamer les sensations /informations et aura ses émotions propres, suivant aussi sa capacité de résilience.
Pour moi les marqueurs c'est la gestuelle du voisin, son ton de voix appuyé. La menace vient de là. Si une odeur s'était produite pendant cette conversation il est possible que l'odeur aurait pu redéclencher dans une situation un peu similaire. Ou le chapeau pourrait jouer ce rôle si le chien a perçu le chapeau séparément. Mais si la situation se répète une ou deux fois alors il y aura prédisposition à l'ancrage de l'aversion quand un des aspects repérés va toucher émotionnellement le chien.
L'ancrage peut etre immédiat suivant la résilience, la génétique...à mon avis
